Citations

«Il faut toujours faire confiance aux scénaristes qui lisent.» Alessandro Baricco. Une certaine vision du monde.

vendredi 31 octobre 2014

Lancement du programme de bande dessinée


Le lancement officiel du programme en bande dessinée de l'Uqo a eu lieu le 09/09/99 à Montréal lors de l'événement ZINA (Zone internationale du neuvième art). Cela se passait à Ex-centris.

Quelques photos trouvées dans mes archives.

Les discours officiels. Avec ma collègue Ginette Daigneault, professeure en arts visuels et instigatrice de ce programme et Laeticia Messier qui était la doyenne des études.



Mes collègues Ginette Bernier et Ginette Daigneault. Odette Rochefort, technicienne des labos informatiques et Marie-Hélène Giguère qui est aujourd'hui directrice de la galerie Art-images.



Yves Lacroix et Jacques Samson devant l'expo d'Éric Braun.




Dans la foule on reconnait Odette Rochefort, Salvdor Dallaire (Zine zag), Michel Pleau (BD Québec) ainsi que Nicholas Lescarbeau, Anicia Paquette et Hugues Tremblay, étudiants de la première cohorte.



Avec mon père. Et Ronan derrière qui, déjà, se moque de moi.



Avec les affiches de Zina…


…et l'affiche de la fourchette, les 4 formations en arts de l'Uqah en 1999 (arts visuels, design graphique, enseignement des arts et bande dessinée).



Et n'oubliez pas d'inscrire la date du vendredi 28 novembre à votre agenda !




jeudi 30 octobre 2014

J'en profite pour faire le ménage de mes photos


Petit message à tous ceux qui ont étudié en bande dessinée à l'ÉMI au fil des quinze dernières années, que vous ayez ou non complété le programme : vous êtes invités à de joyeuses retrouvailles le vendredi 28 novembre au soir.

Et pour vous rappeler des souvenirs, j'agrémenterai le mois qui vient de quelques vieilles photos.

Celle-ci date de 2002. C'est le premier événement des finissants à inclure une cohorte en bande dessinée.

On y aperçoit Jérôme Mercier, Hugues Tremblay, Cédric Plante ainsi qu'Anik Deslauriers qui sera de la deuxième cohorte.

mercredi 29 octobre 2014

Les 15 ans du programme en bande dessinée de l'ÉMI !

Eh oui, il y a maintenant 15 ans que je prenais les rênes de cette première et unique formation universitaire consacrée au neuvième art au Québec. C'était en 1999. C'était un autre siècle.

Et nous sommes toujours là. Et nous avons même connu une légère hausse des demandes d'admission pour notre seizième année.

Et pour nos 10 ans, nous avons obtenu le Prix Albert-Chartier.

Treize cohortes ont maintenant complété le programme. Et nous avons plein de diplômés et diplômées qui publient et qui sont actifs dans le milieu de la bd au Québec. Quelques noms : Iris, Jean-Sébastien Bérubé, Stéphanie Leduc, Yan Mongrain, André Saint-Georges, Julien Paré-Sorel, Yves Bourgelas, Victor Brideau et d'autres dont vous devriez entendre parler bientôt.

Pour ces 15 ans, j'aimerais beaucoup revoir les anciens et les anciennes.

Alors, à tous ceux et celles qui ont étudié en bande dessinée à l'ÉMI, je profite donc des Rendez-vous de la bande dessinée de Gatineau pour vous inviter le vendredi soir 28 novembre au café-bar de Brault.

Ce sera le lancement du deuxième numéro de la revue Le Bunker (les étudiants actuels trouvaient que le Plan B, une fois par année, ce n'était pas suffisant ;-)

D'autres détails suivront sur les réseaux sociaux dans les prochaines semaines.

J'espère vous voir en grand nombre.

mercredi 15 octobre 2014

Jean-Louis Murat veut m'interner


Dans une entrevue récemment publiée, le chanteur français Jean-Louis Murat affirme ne pas aimer la bande dessinée. C'est son droit. Mais il y va quand même un peu fort:


«Je suis un peu gêné, mais j'ai un grave problème avec la BD. Jamais, je n'ai supporté ça. Pour moi, un truc comme Tintin, cela a toujours été de l'abrutissement. Chaque fois que je vois quelqu'un avec un album de Tintin, je me dis qu'il faut l'interner. Moi, je regarde les images ou je lis, c'est lin ou l'autre. Les deux mélangés, c'est pas possible.»

En lisant cela ce matin, je voulais écrire : moi, la chanson, j'écoute la musique ou les paroles, c'est l'un ou l'autre. Les deux mélangés, c'est pas possible.

Mais je n'ai pas été assez rapide : http://www.actuabd.com/+Jean-Louis-Murat-et-la+

Quant à interner ceux qui apprécient un médium ou une forme d'art que l'on ne comprend pas, il me semble que certains régimes politiques ont déjà eu cette idée. 


De mon côté, je veux bien me faire interner. D'autant plus qu'en ce moment, je relis les Tintin. En noir et blanc.